APPRENDRE LE PRINCIPE DE LA MORT A SOI-MÊME

APPRENDRE LE PRINCIPE DE LA MORT A SOI-MÊME.

Bonjour / Bonsoir , Selon l'heure que vous allez lire cet article via mon web.
Je viens vers vous non seulement avec cette VIDÉO mais aussi avec cet ENSEIGNEMENT 
Dieu attends de nous que nous puisons mourir en nous même, c'est pourquoi je vous prie de bien lire et méditer dans cet article que nous avons prie le soin de vous apporter par écrit. 
NB : Si vous n'avez pas visionné cette vidéo, je vous prie de la visionner et pour approfondir vos connaissance de lire cet article. Je vous laisse le lien pour pouvoir visionner le live via Facebook pour partager la chaleur des frères et sœurs au travers des commentaires et des partages et j'aimes : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=394067900929792&id=100009797560798
LEARDER - ÉVANGÉLISTE
 PLUS_QUE_VAINQUEUR 
J'ai débuté mon enseignement et ma prédication en DIRECTE SIR FACEBOOK par ce verset :  
Jean 12 v 24 :
<<En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s'il meurt, il porte beaucoup de fruit. Celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui hait sa vie dans ce monde la conservera pour la vie éternelle. Si quelqu'un me sert, qu'il me suive ; et là où je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu'un me sert, le Père l'honorera.>>


1 / LA MORT EST UN GAIN, UNE AFFIRMATION FORTE.

La mort est une des conséquences du péché.
La mort est une ennemie.

Et voici que l'apôtre Paul ose tenir ces propos qui pourraient choquer et le bon sens et la logique.

Philippiens 1/21 : car Christ est ma vie, et la mort m'est un gain.

Nous faisons tout pour tenter d'échapper à la mort et pour en reculer l'échéance, et cette affirmation semble aller à l'encontre des réflexes naturels instinctifs.

La Parole de Dieu étant une épée à deux tranchants, ce n'est pas la première fois qu'elle place ses lecteurs devant une vérité qui se compose de deux aspects qui semblent paradoxaux et contradictoires.

Par sa déclaration citée en référence, le Seigneur montre le caractère indispensable de la mort du grain de blé pour qu'en provienne la vie et la multiplication.

Nul doute que c'est à lui qu'il pense en disant ces paroles, ainsi qu'à sa mort sur la croix.

De sa mort, vient notre salut.

De ses blessures est née l'Église, comme du côté de Adam est venue la femme.

Genèse 2/21 : Alors l'Éternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l'homme, qui s'endormit ; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place.
Le sommeil de Adam est à mettre en parallèle avec la mort du Seigneur de laquelle il s'est "réveillé" par la résurrection.

Dans ce sens, la mort du Seigneur est un gain pour nous.

Elle l'a été aussi pour lui, car en mourant à sa vie humaine, il a pu, par sa glorification, retrouver sa place dans la gloire.

Philippiens 2/8 : et ayant paru comme un simple homme, il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort de la croix. C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père.

Ce principe va aussi valoir pour le chrétien.
C'est ce que le Seigneur veut dire en montrant que "celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui hait sa vie dans ce monde la conservera pour la vie éternelle".

C'est là tout le sens de l'enseignement qui est donné sur le renoncement.

Tout renoncement est une mort à quelque chose.

Matthieu 16 v 24 :
 Alors Jésus dit à ses disciples : si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive.

Ne perdons pas de vue non plus que Paul voulait dire qu'en mourant, il irait rejoindre le Seigneur, ce qui est de beaucoup le meilleur.

En cela aussi la mort est un gain.

La grâce de Dieu transforme donc même la mort en moyen de victoire et d'affranchissement.

Au lieu de précipiter l'enfant de Dieu dans le désespoir et dans une éternité de tourments, voilà que c'est le contraire qui arrive.

Il est donc pleinement justifier de s'écrier :

Mort, où est ta victoire ?

2 / TEXTES QUI FONT RESSORTIR LE PRINCIPE ENONCE AU-DESSUS.

  1. 1. Relation entre le sens du baptême et la mort de la vie ancienne.

Il n'y a pas de conversion véritable sans abandon, donc sans mort, des idoles (1 Thessaloniciens 1/9).

Ce que l'on quitte pour suivre le Christ est livré à la mort.

Romains 6/3-5 : Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c'est en sa mort que nous avons été baptisés ? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie. En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection.

C'est en vertu de ce principe qu'il n'y a plus de condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, car ce qu'ils étaient auparavant a été enseveli symboliquement par le baptême.

Juridiquement, ils ne peuvent plus "être poursuivis". (Romains 8/1).

Concrètement, la repentance et ses fruits manifestent la mort au passé.

1 Corinthiens 6/9 : Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront point le royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas : ni les impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n'hériteront le royaume de Dieu. Et c'est là ce que vous étiez, quelques-uns de vous. Mais vous avez été lavés, mais vous avez été sanctifiés, mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus-Christ, et par l'Esprit de notre Dieu.

  1. 2. Relation entre l'affranchissement du péché et la mort au péché.

Romains 6/7 : car celui qui est mort est libre du péché.

  1. 3. Relation entre les progrès dans la vie nouvelle et la mort aux anciens principes de vie et de comportement.

Ephésiens 4/20 : Mais vous, ce n'est pas ainsi que vous avez appris Christ, si du moins vous l'avez entendu, et si, conformément à la vérité qui est en Jésus, c'est en lui que vous avez été instruits à vous dépouiller, eu égard à votre vie passée, du vieil homme qui se corrompt par les convoitises trompeuses, à être renouvelés dans l'esprit de votre intelligence, et à revêtir l'homme nouveau, créé selon Dieu dans une justice et une sainteté que produit la vérité. C'est pourquoi, renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vérité à son prochain ; car nous sommes membres les uns des autres.

  1. 4. Relation entre la mort à soi-même et l'action de l'Esprit de Dieu dans le chrétien.

Romains 8/13 : Si vous vivez selon la chair, vous mourrez ; mais si par l'Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez.

2 Corinthiens 2/15, 16 : Nous sommes, en effet, pour Dieu la bonne odeur de Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent : aux uns, une odeur de mort, donnant la mort ; aux autres, une odeur de vie, donnant la vie. Et qui est suffisant pour ces choses ?

En fonction de la cohérence générale de la Bible et des règles grammaticales de la langue grecque qui régissent ce passage, il faut comprendre que ce qui a donné la vie à ceux qui périssaient donne maintenant la mort à ceux qui sont sauvés, la mort au pouvoir du péché et à celui des œuvres de la chair.

Le processus de la sanctification, s'il est bien compris, est un processus de vie et de mort.

Plus la vie de Dieu croît, plus l'emprise de la vie propre dominée par la volonté du "moi-je" diminue donc meurt à elle-même.
C'est ce que signifie la déclaration de Jean Baptiste :

Jean 3/30 : Il faut qu'il croisse, et que je diminue.

  1. 5. Il n'y a pas non plus de service ni de consécration sans mort à soi-même.

2 Timothée 2/3, 4 : Souffre avec moi, comme un bon soldat de Jésus-Christ. Il n'est pas de soldat qui s'embarrasse des affaires de la vie, s'il veut plaire à celui qui l'a enrôlé.

  1. Il n'y a pas de participation à la puissance de résurrection qui est en Jésus-Christ sans participation à la croix.
Il n'y a pas de progrès possible sans avoir à livrer à la mort ce qui appartient au "moi-je".

Philippiens 3/4 : Moi aussi, cependant, j'aurais sujet de mettre ma confiance en la chair. Si quelque autre croit pouvoir se confier en la chair, je le puis bien davantage, moi, circoncis le huitième jour, de la race d'Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu né d'Hébreux ; quant à la loi, pharisien ; quant au zèle, persécuteur de l'Église ; irréprochable, à l'égard de la justice de la loi. Mais ces choses qui étaient pour moi des gains, je les ai regardées comme une perte, à cause de Christ. Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l'excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur, pour lequel j'ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ, et d'être trouvé en lui, non avec ma justice, celle qui vient de la loi, mais avec celle qui s'obtient par la foi en Christ, la justice qui vient de Dieu par la foi, afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort, pour parvenir, si je puis, à la résurrection d'entre les morts.


2 Corinthiens 4/11 : Car nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre chair mortelle.

C'est pourquoi les vainqueurs sont des personnes qui n'ont pas aimé leur vie jusqu'à craindre la mort (Apocalypse 12/11).

2 Corinthiens 4/9 : Car Dieu, ce me semble, a fait de nous, apôtres, les derniers des hommes, des condamnés à mort en quelque sorte, puisque nous avons été en spectacle au monde, aux anges et aux hommes, portant toujours avec nous dans notre corps la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre corps.

  1. 7. Relation entre la signification de la coupe et la mort à soi-même.

1 Corinthiens 10/16 : La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle pas la communion au sang de Christ ? Le pain que nous rompons, n'est-il pas la communion au corps de Christ ?

À chaque fois que le chrétien accepte de boire la coupe, il s'identifie à Jésus crucifié et il accepte que le principe de la croix et de la mort à soi-même agisse en lui.

3 / APPLICATION DE CES PRINCIPES DANS LA VIE D'ABRAHAM.

Suivons quelques étapes de la vie d'Abraham dans lesquelles il a connu "une mort" avec pour fruit "un gain."

A chaque fois, il y a eu une épreuve, car la mort est une source de souffrance.

Elle a pris aussi la forme d'un dépouillement en vue d'un enrichissement.

Il faut encore rappeler que ce rôle positif des épreuves n'est pas automatique ou évident.

Subir ou croiser la mort est toujours une souffrance. Si le croyant ne parvient pas à la gérer avec l'aide de Dieu, la prière, la communion fraternelle et la foi, il se sentira uniquement mutilé et meurtri et non enrichi.

Si la réaction est bonne et spirituelle, il y a croissance, enseignement et bénédiction.

Si la réaction est mauvaise et charnelle, il y a anéantissement, appauvrissement et destruction.

L'épreuve rapproche de Dieu ceux qui continuent, dans la souffrance, de s'approcher de lui.

  1. 1. LA MORT DES IDOLES.

Abraham habite Ur en Chaldée (Actes 7/1-4). Il y connaît l'épreuve de la mort prématurée de son frère Haran(Genèse 11/28) et la révélation du Dieu de gloire.

On ne peut pas dire s'il y a eu un rapport entre ces 2 événements.

Il se peut que la mort de son frère l'ait amené à réfléchir et qu'elle l'ait mis ainsi sur la piste de la recherche du vrai Dieu qui lui est apparu suite à cette quête de vérité.


Une chose est certaine, les idoles ne peuvent cohabiter dans le cœur de l'homme avec le Dieu vivant et vrai (1 Thessaloniciens 1/9).


Abraham, en quittant son pays, meurt aussi aux idoles de celui-ci et de sa culture.

Il gagne, dans cette démarche assimilable à une conversion, la connaissance du vrai Dieu. Le principe est également vrai dans l'autre sens. Plus l'homme connaît Dieu, plus l'attrait des idoles meurt. Le fait de ne pas pouvoir servir deux maîtres se vérifie sans cesse (Matt 6/24).

Cette loi spirituelle reste valable tout au long de la vie chrétienne (1 Jean 5/21).

  1. 2. LA MORT DES CAUSES DE RETARDEMENT.

Après avoir quitté Ur, Abraham est bloqué à Charran ("lieu desséché").

Une nouvelle épreuve l'attend, celle de la mort de son père.

Étant donné qu'il y a une relation entre cette mort et le passage dans le pays promis, le rapprochement s'impose.

Cette mort, aussi cruelle soit-elle, est en vue d'un gain pour Abraham, celui de l'entrée dans le pays de la promesse.

Térach, le père, a un nom qui veut dire "retarder." Il personnifie tout ce qui peut retarder la course et le service d'un enfant de Dieu. Tant que ces fardeaux ne sont pas mis à la croix, la jouissance des promesses est retardée et la croissance spirituelle compromise.

C'est parfois par l'épreuve et la perte de ce qui le freine que le disciple est affranchi des facteurs de retard pour son avancement spirituel (matérialisme, incrédulité, entêtement et obstination, ignorance des vérités essentielles et paresse pour les acquérir...).

  1. 3. LA MORT DES POSSIBILITÉS HUMAINES.

Avec l'âge, le corps d'Abraham s'est usé (Hébreux 11/11-12). Ses facultés physiques pour engendrer sont mortes ("un homme atteint par la mort" ; Bible à la Colombe).

Ce passage obligé de la vie est une épreuve et une souffrance. Il a parfois un caractère prématuré à cause de la maladie ou d'autres circonstances qui font mourir les possibilités naturelles.

Tant qu'Abraham a eu ces aptitudes, il s'est appuyé sur elles et a commis l'erreur de concevoir Ismaël (Genèse 16).

Il faut que cette tendance à raisonner charnellement en s'appuyant sur ce qu'on sait et peut faire soit mise aussi à la croix.

C'est douloureux quand cela arrive.

En fait, c'est quand l'espoir est mort que commence la vraie foi et l'espérance qui ne peuvent que compter sur Dieu.

Il faut que meure ce qui ressemble à de la foi sans en être. La débrouillardise, l'enthousiasme naturel, la pensée positive, fruit d'une technique psychique, l'utopie qui fait prendre certains désirs pour des réalités...

Abraham passe de "sa foi propre", ou "bonne foi", terme impropre, à la foi "de Dieu." On peut se fabriquer une sorte de foi qui consiste à se persuader soi-même que tout ira bien. Cette forme d'autosuggestion doit mourir. Cette attitude est plus psychique que spirituelle. Elle n'est pas fondée sur la révélation que Dieu donne, surtout par le moyen des Écritures.

De la même manière, il faut que tout ce qui est né de la chair meure pour laisser place à ce qui vient de l'Esprit (Jean 3).

Il ne faut plus dire "ma foi, mes œuvres, ma patience, ma douceur, ma force..." mais bien plutôt, il est souhaitable de rapporter ces vertus à des grâces que donne l'Esprit de Dieu.

Tout ceci est inclus dans le sens du sceau de la circoncision (Genèse 17/10 et Actes 7/8).
Il y a eu libération d'Abraham à ce moment-là et sa circoncision exprime le retranchement de la chair, de ses œuvres et de la confiance en elles (Philippiens 3/3).

Quand, dans l'épreuve, Dieu peut faire mourir ce qui est de la chair, alors peut surgir tout ce qui est de l'Esprit.


  1. 4. LA MORT DU FRUIT DU MIRACLE.

Isaac aurait pu prendre dans le cœur de son père la place qui ne revient qu'à Dieu (Hébreux 11/17-19). Dans ce cas, Abraham est en danger. Si les bénédictions ont plus d'importance à nos yeux que celui qui les accorde, la situation est la même. C'est une forme nouvelle d'idolâtrie.

Abraham livre virtuellement Isaac à la mort pour le recouvrer par une sorte de résurrection.
Dans l'épreuve, nous apprenons à ne recevoir que ce que Dieu accorde et non ce que nous obtenons de force.

Il faut apprendre à ne conserver que ce que Dieu veut nous donner.


La meilleure façon de savoir en quoi cela consiste est d'être prêt à tout perdre. Ce que Dieu ressuscitera sera ce qu'il veut pour nous.

  1. 5. LA MORT DE CE QUI A ÉTÉ PRÉCIEUX.

Le décès de Sarah est une nouvelle épreuve pour le patriarche (Genèse 23/2). Ils avaient cheminé longtemps ensemble et un profond amour les avait unis.

Abraham, par cette épreuve subit un dépouillement affectif très profond, eu égard à son attachement pour son épouse qui l'a suivi depuis Ur.

Abraham doit renoncer à un bien légitime.

Ici, la personne perdue n'est pas rendue, comme dans le cas d'Isaac.

Cette circonstance évoque ce qui nous est enlevé sans restitution ultérieure.

Le bénéfice spirituel réside essentiellement dans l'enseignement appris dans de tels moments. Il est donc nécessaire d'apprendre à l'apprécier.

Il faut alors laisser Dieu nous apprendre à nous "lever de devant notre mort" sans nous laisser hypnotiser par le pouvoir figeant de la souffrance qui pourrait nous clouer sur place.

Il faut apprendre à "ôter nos morts de devant nos yeux."

Le but des épreuves est de nous attacher à l'essentiel en nous rappelant que nous ne sommes que de passage sur terre. Venus au monde nus, nous le quitterons nus.

Une fois cette leçon apprise, il ne faut pas rester dans le deuil permanent.

  1. 6. LA MORT DE CE QUE NOUS SOMMES.

Après la mort d'Abraham, Dieu bénit son fils (Genèse 25/11). Il habite auprès d'un puits.

À ce moment là, Abraham devient, en mourant, une source de bénédiction pour Isaac, car tant qu'il vivait ses biens ne pouvaient être attribués à son fils. Ceci est une leçon spirituelle.

Quand nous mourons à nous-mêmes, à nos désirs personnels, à nos ambitions et à la recherche de notre propre satisfaction, nous devenons source de bénédictions pour les autres.

C'est l'infaillible voie pour un service fructueux. 

MOURIR EST UN GAIN SI, À L'EXEMPLE DE JESUS QUI EST DEVENU LE SAUVEUR PAR SA MORT ET SA RESURRECTION, NOUS APPRENONS À VIVRE EN VERTU DE LA REPENTANCE, DU RENONCEMENT À SOI-MÊME ET AUX OEUVRES MORTES (Hébreux 6).

FUYONS LA TENDANCE QUI CONSISTE À RECHERCHER UN EVANGILE SANS LA CROIX.

CET ENSEIGNEMENT EST UNE FAUSSE DOCTRINE ALLECHANTE.

ELLE REMET EN QUESTION LES BASES MÊME DE LA FOI BIBLIQUE.


4 / LE PRINCIPE DE LA CROIX TEL QU'IL A ETE ENONCE À PIERRE.


Jean 21 v 18 :
 En vérité, en vérité, je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu te ceignais toi-même, et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, tu étendras tes mains, et un autre te ceindra, et te mènera où tu ne voudras pas. Il dit cela pour indiquer par quelle mort Pierre glorifierait Dieu. Et ayant ainsi parlé, il lui dit : Suis-moi.

Cette prophétie a eu son application littérale dans la vie de l'apôtre.

Elle a aussi toute une portée spirituelle qui est applicable à chaque disciple.

"Pierre le jeune" représente le chrétien manquant encore de maturité. Sa vie est centrée sur le "moi-je" (tu te ceignais toi-même).
"Pierre le vieux" représente le chrétien devenu davantage spirituel. Il est en mesure de se rendre où il ne serait jamais allé de lui-même auparavant.
Plusieurs de mes amis Évangélistes me disent que je prêche trop durement, mais chacun a un message qu'il doit prêcher, moi c'est rien que la VÉRITÉ et rien d'autre. 

Evangeliste DADJE HERMANN Aléas Plus Que Vainqueur ( #Shérif de la Vérité )


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